Harbouya… le prédécesseur de Gugusse ? Nous ne savons pas grand-chose de Harboya, mais son nom revient fréquemment dans le cadre de l’étude du cercle historique. La brochure « La Terre Wallonne » du 15 février 1922, à propos du calendrier du Folklore Ardennais, évoquait notamment certaines anciennes coutumes du carnaval de Marche. Voici ce qu’elle en …
Nûtons Le Fond des Vaulx est, depuis toujours, une Terre de Nutons. La présence de Nutons des Rochers est avérée au Trou Dieu-le-Père, au Trou au Sable, au Trou au Renard et à la Plate-Pierre. On dit aussi qu’il y a un gros village de Nutons des Forêts dans le grand pré derrière la Source. …
C’est en, 2001, que le public découvre le géant des Macrâles, Mathildas. Macrâles Autrefois, parmi les nombreuses grottes du Fond des Vaulx, il y en avait une qu’on appelait « le Trou des Démons ». On racontait qu’elle communiquait avec l’enfer et que, la veille du jour de la Toussaint, des Diables l’empruntaient pour visiter …
Bien que le grand Georges ne soit pas une légende mais bien un vrai personne, il fait parti de la légende du Carnaval de la Grosse Biesse. Le grand Georges est devenu l’emblème de la ville de Marche…. Dernier crieur public de la ville, il s’est fait une place dans le folklore marchois: le …
D’après la légende, Noss’ Petit’ était une petite fille qui aurait apprivoisé la Grosse Biesse. C’est e, 1987, que le public pourra enfin voir Noss’ Petite, l’héroïne de la légende de la Grosse Biesse Noss’Petit’ La Grosse Biesse du Fond des Vaulx aurait provoqué, paraît-il, la panique des habitants marchois il y a bien longtemps. …
La Grosse Biesse du Fond des Vaulx aurait provoqué, paraît-il, la panique des habitants marchois il y a bien longtemps. Cette panique fut momentanée car une petite fille, on ne sut jamais son nom si bien qu’on l’appelle aujourd’hui Noss’ Petit’, parvint à l’apprivoiser et à la faire adopter par la ville. Depuis lors, dit …
Le carnaval de Marche tient ses origines dans un petit personnage moqueur et gai luron que l’on nomme Gugusse. Le Gugusse Aux temps jadis, un groupe d’une dizaine de personnes accompagnées de quelques grenadiers déambulaient dans les rues de la ville, promenant une poupée de chiffons symbolisant l’hiver et ses malheurs. Le bonhomme Hiver était brûlé …
